Pensionnat kan'ji
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Le pensionnat Kan'ji, est un pensionnat remplit de personne tout plus bizard les une que les autres ! Venez avec nous et vous vous retrouverez plgoner dans un univers loufoque et tordant !
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Derniers sujets
» jeu, Tic...Tac
Kanako EmptyLun 21 Fév - 16:16 par Aki

» Arrivée d'Akiza
Kanako EmptyLun 21 Fév - 16:15 par Aki

» Suite de l'arrivée des Frangins
Kanako EmptyMar 1 Fév - 16:59 par Kumi Nagasaki

» Suite d'une nouvelle vie pour Yû Hiro
Kanako EmptyLun 31 Jan - 21:21 par Toku

» Une clope ??
Kanako EmptyLun 31 Jan - 21:08 par Mr Kojima

» L'arrivée de Mademoiselle Phantomhive
Kanako EmptyDim 23 Jan - 17:15 par Juzo Nagasaki

» Nouveau arrivant
Kanako EmptySam 8 Jan - 14:54 par Mr Kojima

» Enfin un bain, et non une douche... *soupire de satisfaction*
Kanako EmptyJeu 28 Oct - 14:02 par Yû Hori

» Présentation d'Aki
Kanako EmptyLun 11 Oct - 22:00 par Angie*

Connexion
Nom d'utilisateur:
Mot de passe:
Connexion automatique: 
:: Récupérer mon mot de passe
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

 

 Kanako

Aller en bas 
AuteurMessage
Eye-lina

Eye-lina


Féminin
Bélier Chèvre
Nombre de messages : 16
Age : 33
Date d'inscription : 04/04/2009

Kanako Empty
MessageSujet: Kanako   Kanako EmptyLun 13 Avr - 14:35

"Autour d'elle tout n'est que néant...
Perdue au fin fond des abysses,
Kanako est une ombre...
Perdu dans un trépas profond..."




" Around her everything is only nothingness...
Lost in the fine bottom of gaps,
Kanako is a shade...
Lost in a deep demise... "


[...]


Mon histoire est celle d'une femme surnommée Kanako, rejetée par ses amis, rejetée par sa famille, juste par qu'elle est "différente"...

Kanako est une jeune femme d'une vingtaine d'années, son corps, ses formes, tout son corps était parfait.

Kanako n'avait pas l'habitude de parler et ses seuls amis étaient ses pensées... N'étant pas d'une couleur de peau habituelle, tous ses proches avaient peur d'elle.

Le trajet qui la séparait de son école était devenu un véritable calvaire, que chaque matin elle devait endurer. Sous le poids des regards que lui lançaient les habitants de son village, Kanako faisait face et relevait toujours les épaules. Cependant, elle ne pouvait s'empêcher de baisser la tête, laissant tomber sa chevelure soyeuse sur son beau visage, à chaque fois qu'elle passait devant les lavandières.

Kanako n'était pas timide mais réagissait de la sorte, pour l'unique et mauvaise raison, que la plus grande majorité de ces femmes étaient d'une grande beauté...

Kanako avait mal de sans-cesse se demander : "pourquoi suis-je différente?"

Et par delà les frontières du réel, Kanako sombré dans un rêve où elle se sentait bien, où personne ne l'a différenciaient des autres. Elle ne comprenait pas, elle ne comprenait pas pourquoi on l'a rejetaient.
Sa couleur de peau était plus pure que n'importe qu'elle autre et ses cheveux de-mêmes. D'ailleurs on aurait presque dit un ange aussi pur que la neige, ses yeux dansaient au rythmes des flammes, et nous embrasaient d'une chaleur aussi douce et dangereuse qu'un incendie quand on l'a regardaient.

Dans ses rêves Kanako s'entendait nous crier de l'écouter, mais par notre égoïsme on l'a rejetait. Seul une personne l'a écoutée, mais cet homme ne pouvait pas le voir, et pour cause cet homme était aveugle...

Kanako n'était pas une femme qui se plaignait souvent, elle lui raconta seulement a quel point elle le remerciait de ne pas l'avoir ignoré comme les autres. Cet homme lui narra son histoire... L'histoire de la perte de sa vue et a quel point se traumatisme lui avait changé la vie.

Les jours passèrent et Kanako retrouvait peu a peu le sourire... Un jour elle se demanda comment s'appelait cet homme. Elle lui posa la question, mais il ne lui répondit que par un: " appelles moi comme bon te semble..." Kanako surprise, ne comprit pas, il lui expliqua. Il lui expliqua qu'après son traumatisme qui le plongea dans la différence, ses proches l'évitaient, il ne recevait plus d'appels, ni de messages et en avait donc oublié son propre prénom...

La surprise de cette révélation, plongea Kanako dans une grande perplexité, qu'allait-elle devenir? L'homme toujours innomé l'a rassura et lui dit que seule, elle ne le sera jamais car il ne laissera personne subir le même sort qu'autrui lui a infligé. Que la souffrance ne doit être de coutume que pour les gens qui l'infligent.

Des jours, des années passèrent et Kanako n'était toujours pas rentrée chez elle. De nombreuses rumeurs circulèrent comme quoi, Kanako était partit a l'étranger, faire de la prostitution... Ou encore qu'elle s'était fait rejeter par son amant et que de tristesse elle se suicida. Kanako bien sur n'était au courant de rien et resterait dans l'ignorance la plus parfaite jusqu'au jour où elle sortira de son monde.

L'homme un jour, ayant pris conscience de la gravité de la situation, ordonna a Kanako de retourner dans son monde, que la bas son corps était plongé dans un coma profond. Et que cala faisait bientôt des mois. Kanako rentra dans une rage bordée de larmes, de peur et de colère, elle ne voulait pas rentrer, elle ne pouvait pas rentrer. L'homme dut lui avouer que son corps allait être débranché et qu'à ce moment elle ne pourrait plus ni être dans son monde ni dans son rêve.

Kanako se vit dans l'obligation de retourner d'où elle venait... Mais depuis le temps, l'entrée s'était celée, et on y avait plus accès, mais comment faire le débranchement était prévu pour 10h30 en cas de non-retour de l'esprit de la femme dans son corps. Malheur 10h15 à montre.

L'esprit de Kanako et de l'homme commencèrent à ce brouiller et à ce détacher de toute réalité. En cherchant un accès qui pourrait les relier au monde réel, Kanako et l'homme s'engueulèrent, se brouillèrent et finirent par ne plus s'adresser la parole. Néanmoins, il était du devoir de l'homme de secourir Kanako.

Kanako commençait a sentir la pression monter, comme si l'atmosphère s'appauvrissait en oxygène. Ils apercurent un trou creusé dans le plafond, se trou menait tout droit au monde natal de Kanako. Mais pour l'atteindre il allait falloir escalader. L'homme commença à empiler les pierres mais se rendit bien vite compte que leur temps était compté. Pris de panique il ordonna a Kanako de grimper sur ses épaules et d'essayer d'attraper les extrémités du passage. Ils ont dus remettre ça à plusieurs reprises car ils étaient bien loin de la hauteur.

Kanako entendit des voix disant qu'il est temps de l'a débrancher. Prise d'une panique soudaine, elle narra se qu'elle entendit a l'homme, qui ne savait plus quoi faire. il lui cria de s'agripper au rebord, il gueula qu'elle devait s'étirer du plus qu'elle pouvait! Allez! qu'il disait, allez! Kanako avait mal, elle pleurait, il pleurait et il souffrait, mais ils ne devait pas abandonner.

NON!!! Un cri retentit du monde d'en haut, et on entendit des sanglots, une femme murmurait qu'on aurait pu la sauver...qu'on aurait pu l'épargner...Mais il fut un temps où la vie de Kanako fut arrêtée, et il fut un temps où la vie de l'homme fut écourtée, car ne pouvant vivre sans sa bien-aimée, il décida de se suicider...

Mon histoire s'achève sur la fin de deux vie, deux âmes en perdition, abandonnées à leur sort, rejetées de la réalité, sans aucuns secours, ni coups de mains, elles finirent par sombrer.

My history ends at the end of two life, two souls in perdition, abandoned in their fate, thrown rejected by the reality, without any help, nor helps, they eventually sank.
Revenir en haut Aller en bas
 
Kanako
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Pensionnat kan'ji :: Hors RPG :: Création-
Sauter vers: